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Autres informations sur Alexandre DUMAS : Biographie de Alexandre DUMAS
Ce blog est consacré aux grandes figures qui ont eu une emprise particulière sur l'histoire, la société, les moeurs, l'art, le sport, etc.
Autres informations sur Alexandre DUMAS : Biographie de Alexandre DUMAS
Trois ans plus tard, Le numéro un mondial en est à douze victoires ( 10 pour Sampras en 1997).La domination du Suisse est telle qu'il a déjà fait tomber tous les records de Bjorn Borg, Jimmy Connors, John Mac Enroe et Ivan Lendl réunis.
Mats Wilander se permet d'affirmer qu'il possède le meilleur "mauvais niveau deCertes, à l'US Open 2007, on aurait pu espérer que "l'empereur Federer" nous montre plus de coup de génie... Mais en dehors d'une première semaine où Jonathan Isner et Feliciano Lopez ont quelque peu accroché le triple tenant du titre, il faut faire preuve d'une extrême concentration et d'une grande maîtrise de son tennis pour "coller" trois sets à Andy Roddick, Nicolai Davydenko et Novak Djokovic, et en jouant mal.
jeu".
Moins bien disposé techniquement que ses illustres successeurs, il avait cependant une capacité unique à se battre, à ne pas lacher un point, à visualiser ses rencontres. Il fut l'auteur de grands combats surtout sur le central de Roland Garros qui est son fief.
Ses matches contre Jose Luis Clerc en 1/16 ème de finale en 1985 et contre Kent Carlsson en 1/8ème de finale deux ans plus tard resteront dans les annales. C'est 1989 et 1990 que Yannick atteint son meilleur niveau où on le redécouvre "techniquement", notamment en coups d'attaque ( revers et coup droit) grâce à Dennis Ralston, son nouvel entraîneur. Yannick Noah parvient en 1/4 de finale à l' US Open en 1989 et est demi finaliste de l'open d'Australie édition 1990.
Rendons un hommage à Yannick Noah, le joueur de Foi.
Sources :
Le premier tournoi de Noah en 1986 (ici il bat Lendl et Vilas)
Sans cette bourse, je n'aurais pas pu terminer ma scolaritéUne première expérience délicate
A cette époque, j'ai envoyé 100 cv dans le secteur de l'ingénierie et j'ai eu 100 réponses négativesMichael Lee Chin : une réussite éclatante
Il ne s’arrête pas là, il continue à investir :
10 ans après ses premiers pas dans le monde de la finance, il fait l’acquisition d’AIC (Advantage Investment Counsel) en 1987 et, au fil des années, il a assuré la croissance de la société, dont l’actif sous gestion est passé de 1 million $ à plus de 8 milliards de dollars. Depuis son acquisition d’AIC, il occupe les postes de président du c.a. et de chef de la direction.
A ce jour AIC gère environ 15 milliards de dollars !
Il a créé et est à la tête en plus d’AIC de deux énormes machines : « Berkshire Group » et de « Senvia Money Services Inc. », avec AIC ce sont ses deux plus grosses sociétés.
Mécène généreux et investisseur hors pair qui n’oublie pas ses origines
(…) Mon histoire personnelle fait que j’ai une dette indéfectible envers ma terre natale, la Jamaïque et je l’aiderai de toutes les façons possibles (…)
A partir de 2002, Michael Lee Chin investit en Jamaïque et dans les caraïbes :
Michael Lee Chin a lancé un fonds dédié aux Caraïbes : le « AIC Carribean Fund » dont l'objectif est d'investir dans les Caraïbes. L’agence gouvernemantale américaine OPIC a annoncé en 2006 que le fond « AIC Carribean Fund » allait investir plus de 200 millions de dollars dans les Antilles !
Par exemple pour faire en sorte que tous les enfants de Jamaïque aient accès à des études supérieures, M. Lee-Chin a récemment accordé son soutien à la création de la Jamaican Education Initiative, un programme de la National Commercial Bank. Cette dernière s’est engagée à verser un pour cent des montants portés sur les Keycards (la carte de crédit de NCB) à un fonds national d’éducation. L’objectif consiste à réunir 50 millions de $ JA à affecter à des programmes pour combattre l’analphabétisme. NCB défraiera le coût de deux examens que les jeunes Jamaïcains doivent réussir pour accéder aux institutions d’enseignement supérieur et créera un programme de bourses, un programme d’échange de manuels scolaires et un programme de prêts aux enseignants. Un don d’ordinateurs et d’équipements connexes d’un million de $ JA a été distribué à diverses écoles et institutions de bienfaisance.
Son modèle est Warren Buffet, c’est en étudiant ses livres et ses méthodes qu’il s’est formé à la finance et qu’il est devenu un investisseur hors pair. Sa devise tient en 4 mots :
Buy. Hold. And Prosper (achète, patiente et prospère)
Il est un des hommes les plus riches du Canada et en 2006 en 365ème position sur la liste de Forbes des milliardaires (ses actifs sont évalués à plus de 2 milliards de dollars).
Quelques une des ses nombreuses actions philanthropiques :
Il est, entre autre,
C'est en tout état de cause un modèle pour nous tous !
Origine de l'article : Michael Lee-chin sur "Les métis célèbres".
« J’introduirai la gravité dans la vie, même au péril de ma propre existence. On ne peut revenir en arrière. Cependant cette flotte qui agresse notre île et m’enferme à Ennery, cette expédition qui m’accule au dialogue, me font imaginer le pire. Le retour au passé : je ne le veux pas. Dois-je répondre à la politesse appuyée de cette invitation qui me propose la paix et la tranquillité à moi qui ai restauré seul, l’unité de l’île ? La décision m’incombe. J’ai laissé les hommes sous les armes, les officiers avec leur grade. Si Leclerc est assez fourbe pour fouler les prescriptions de l’honneur militaire et m’arrêter avant toute discussion, la postérité le honnira et la mémoire de Bonaparte sera souillée. Si je dois affronter la trahison et la mort, j’ose le dire sans
forfanterie, je servirai la cause de la liberté : le pays ne supportera pas cette offense et dans un sursaut d’énergie, expulsera les esclavagistes : le pays se libérera ! Mais si Leclerc accepte la négociation et respecte la pause qui m’est nécessaire afin de tirer les leçons d’hier et d’organiser l’avenir, le pays reprendra ses forces, le pays se libérera ! Plus ou moins tôt, plus ou moins tard, que je vive ou que je meure, le pays sera libre. J’irai au rendez-vous ! »
Geronimo, le grand chef indien, le dernier chef Apache est rentré dans la légende. Il marque la plupart des enfants, reste dans les esprits des adultes et, aux yeux de l’Europe, il incarne les indiens d’Amérique à lui tout seul. Son évolution est "classique" : jeune garçon, jeune homme, l’homme et enfin le chef qui jusqu’à la fin il se battra pour une noble cause : la survie des siens, de son peuple. Cette lutte contre l’un des génocides les plus dramatique de l’histoire humaine doit rester dans nos esprits.
Certains moments de la carrière de Geronimo sont à connaître comme l’opération de San Carlos, bataille mémorable et inoubliable que les Apaches remportent mais durant laquelle ils subissent d’importantes pertes humaines dont 78 femmes et enfants !
Geronimo était plus qu’un chef, il a eu une double carrière : il était également un homme-medecine, un chaman qui pouvait sentir l’ennemi, le voir à plusieurs centaines de kilomètres et capable de prédire l’avenir.
Certaines caractéristiques du peuple Apache sont à souligner : souples, dotés de la discrétion des félins, ils sont capables de marcher (ou de fuir !) plus de quatorze heures durant, abattant plus de soixante dix kilomètres par jour sans que personne ne les remarque. Leurs mœurs, leurs coutumes les rendent attachants et provoquent le respect. Comment les « conquistadores » et les tuniques bleues ont-ils pu « raser » un tel peuple de la terre ?
Les enfants s’intéressent aux Indiens, à Geronimo, aux Apaches, il serait bénéfique que les adultes également se replongent dans ces épisodes peu glorieux de l’histoire du nouveau monde et des Amériques.
Pour quelques informations sur le Buffalo Bill métis qui a vécu quasiment 10 ans avec une autre tribu d'indiens les Crow, rendez-vous sur les métis célèbres : "James Beckwourth, the black buffalo Bill".